Je ne sais pas ce qui conditionne le vivant. Nul ne sait.
J’éprouve une colère inexpugnable à voir le monde se défaire.
Quelque chose qui meurt
Ne peut pas se dire
Trop d’injuste dans le temps
Et des moisissures de réel
Nous serions deux tout de même. On serait ombres portées, cercles ou motif, de vie l’un pour l’autre.
2 réponses à “31 avril”
J’aime beaucoup aussi les photos.
Merci. Elles sont la première « couche » et je ne sais pas trop ce que je vais en faire dans ce qui va suivre…