32 avril

Il y a un an tout juste la chaleur déjà nous pinçait les narines, tu n’étais pas disparue et j’imaginais une vie sans toi invivable. Pourtant rien ne laissait s’attendre à ton absence. Aujourd’hui qu’approche la date, parce que nous entrons dans son mois, je ne sais plus ce que je crains, de l’anniversaire de ton départ ou de la fin qui vient, de la disparition prochaine de ce que nous connaissons, j’en suis à peu près sûr ou sûre.