Les jambes
la tête autrement vide
la danse noire des corbeaux
la douceur souffle dans les poumons du printemps
dans les bras des arbres
une brise tiède
fondante
Et au pied je suis assise, je regarde vers le haut, j’attends que la forêt m’éclaire, le pouvoir du vert, je n’y crois pas, tout est étranger, rien ne me parle, je ne change pas ma façon de voir, tant que je ne sais rien de ta disparition
je crois
je ne peux rien
penser
comprendre
de nouveau
de différent