Ô hublots, ô châteaux, vous êtes lumières sans nous, et douces et jaunes encore !
Il y a ceux qui pensent
Il y a ce qui ne pense pas
à ça
les choses calmes et paisibles
ne regardent ni mon épaule ni rien
pas plus la mouche
qui s’y pose sans un bzzz
pas plus l’armoire
pas plus le trou de la souris
Les choses sans nous sont les choses sans moi
sans préoccupation pour ma transformation
la rue est moins sereine que moi
la rue est moins sereine et moi
depuis l’épaule