C’était long. Ça coulait. La vie s’étrécissait à une certaine vitesse. On pouvait croire à un ennui. Ce n’était que la vie ordinaire de la vallée.
L’homme est arrivé par le côté du fleuve. Il serrait dans sa main un chapeau chiffonné. On l’a vu de la fenêtre, ses grands pas d’oiseau.
2 réponses à “37 juillet”
C’est beau. Chaque morceau d’un même ton. J’aime.
Merci Anne, pour tes passages ici 🙂