Rouge, secrets, fiction, tout se mélangeait comme un épais roman, un puits sans fond.
Alors j’ai parlé longtemps, écrit le temps qui passait pour découdre les sources enfouies, j’ai kidnappé ce qui peu à peu s’ordonnait, j’ai tenu dans ma main les cordes alignées par mon chant.
Et puis j’ai attendu le temps
qu’il se roule comme un gros chat
sur l’histoire.
Qu’il aplanisse ce qu’il restait de métaux tordus.