Dans la fumache je trouve chaque jour de nouveaux liens. L’homme qui la prépare est aussi capable d’accompagner les rêves. Souvent, il soutient mon sommeil, prend des précautions pour les têtes emportées.
Peu à peu quelque chose se précise. Au début c’était seulement une silhouette dans la brume. Ta silhouette. La mienne. On ne sait.
Et puis nos mains.
Je ne peux pas en dire plus aujourd’hui. Chaque jour apporte. Son brouillard. Ses images.
Parce que tu as disparu je suis devenu une femme.
Et dans la lumière couchante je me demande comment l’histoire va finir.