Certains jours je n’ai pas d’espace de tête pour la poésie. La quête de comprendre prend toutes les places libres. Aujourd’hui en est un. Faudrait creuser trou d’air, venter le crâne, y faire pousser quelque arbre à feuilles caduques. Mais tout est sec.
Même comprendre relève de la création.