On marchandait les anxiétés, les cœurs cueillis d’animaux morts. On ouvrait des boîtes contenant du soulagement, mais personne n’arrivait jamais à en attraper.
Je me suis aperçu que depuis ton départ (je ne dirai pas disparition), j’ai comme arrêté la vie, et maintenant je veux la reprendre.
C’est vrai.
J’ai pensé reprendre la vie là où je l’avais laissée, la reprendre par son ordinaire, son banal.