47 décembre

Ô hublots, ô châteaux, vous êtes lumières sans nous, et douces et jaunes encore !

Il y a ceux qui pensent

Il y a ce qui ne pense pas

à ça

les choses calmes et paisibles

ne regardent ni mon épaule ni rien

pas plus la mouche

qui s’y pose sans un bzzz

pas plus l’armoire

pas plus le trou de la souris

Les choses sans nous sont les choses sans moi

sans préoccupation pour ma transformation

la rue est moins sereine que moi

la rue est moins sereine et moi

depuis l’épaule