Peut-être que c’est tout mon corps, finalement.
Je travaille à changer mes idées, tout mettre au propre, comme on dit. Je travaille à la table, j’essaie de taire la porte qui bat en moi. Peut-être que c’est tout mon corps. Je travaille dans la rue, à saisir des rayons, des noirs et des blancs. Je n’écris pas, peut-être que c’est tout mon corps. Abîme photographique : moi, la journée de travail ou l’écrasement circulaire des poèmes.