Ce qu’il fallait de religion pour qu’on accepte de ne plus souffrir, pour qu’on dise oui c’est fini, bien fini, sans redevance à nos rages anciennes, sans résignation pour les humanités. Ce qu’il fallait de pensées échangées les soirs de deuil pour accepter que le monde devienne, et de feu en feu on irait accoucher de nos organes rompus, et toute la douleur serait effacée.