Je sais maintenant que quand tu regardais, je ne savais pas ce que tu voyais.
Il y avait ça aussi : on en avait marre des fils, on les suivait en pinaillant, dire que c’était l’automne et que tout passait en chemins électriques. La vie était câblée, transformée en chiffres courant dans de longs tuyaux.
C’est toi qui te fâchait le plus contre cette dimension nouvelle, abstraite. Un vide habité mais par quoi, un monde impalpable et peuplé qui envahissait nos esprits.
Je pense que tu avais des peurs que je n’ai pas comprises.