52 septembre

J’étais toujours à terre. Que ce soit pour une chute, ou regarder le ciel. 

J’avais en tête des choses tristes, venues de l’histoire, de ma mémoire et de mon cœur. 

Est-ce qu’on a besoin d’être réconforté quand on est tombé ? Ou relevé seulement ? 

Les verts du jardin m’ont embrassé le cœur, et la peine des matins.

J’ai ramassé mon corps et je l’ai mis debout.