48 septembre

Je voulais faire un récit, quelque chose qui parle et signifie, du langage qui prenne la forme d’un paysage cohérent, réel. Un texte qui poserait les colères, les murs, les histoires déroutées qui percent nos plafonds, des cercles qu’on ne sait pas. 

Un collier de trous noirs sur un fil de clarté terrienne.