46 septembre

Je dessinerai ton corps de violoncelle, ton visage double, tes nez et tes yeux en mélange, j’oublierai la perspective et j’hésiterai sur la couleur, je dessinerai les bleus au ventre et les découragements du jour, les pensées labiles, les àquoibonnements du ciel gris. 

Je prends tout mon désir de peindre et je le consacre à parler, à écrire.