Reflets d’évidence dans la surface obscure, du vivant qui boîte. Je ne reconnais pas les visages. Quelque chose se sait qui ne m’appartient pas, et jamais on n’éclaire toute la tache rouge, toute la lumière aux prisons de l’opacité, tout le noir brûlant des paupières.
Je mange quelque chose qui ressemble à du printemps, le trouble s’étend dans le corps entier. C’est nouveau, vert inédit. Peut-être une autre voie, un chemin de langage, un parfum, des arbres pas encore vus. Une autre façon de marcher.