J’en ai marre de parler d’amour.
Après l’été les ombres continuaient leurs travaux, rappelaient l’été avec des grands cris de fraîcheur et des urbanités nouvelles.
J’en ai marre de parler d’amour. Le comble pour quelqu’un qui ne sait pas comment a disparue son autre ?
Rappellaient l’été avec des grands cris de fraîcheur.
Je te rappelle avec des grands cris noirs.
Nous persévérons, dit la femme en blanc. Mais que faut-il faire ?
Je n’ai qu’envie de te parler.