Les fourmis sur nos têtes, ce qui court en nous, notre sang, ta main, mon cœur qui jouit et les pattes des perroquets blancs des forêts primaires.
Une entité, le quelque chose on ne sait pas quoi c’est ce qui manque depuis que tu n’es plus là, ce qui manque manquait déjà avant toi manque après toi manque toujours.
L’espoir toujours d’un Quelqu’un-Tout. L’espoir des espoirs qui ne viennent jamais.
Et la joie rauque des jours qui rapetissent.