Ça couve. Il faut le temps pour éclairer. De l’été, tu ne sortirais pas des ombres. Peut-être en automne nous saurons quelque chose. Une autre traduction de l’histoire.
Pour l’instant nous marchons, la femme rousse et moi, à tâtons. C’est moi qui parle. Elle me suit en silence dans le chemin de mots.