A l’ombre jouer de la lumière.
Mes jambes de femme me font une nouvelle envie de courir.
On ne fait pas de transformation sans peine, sans des douleurs souffrantes et d’autres étonnements.
Je n’ai pas choisi. Je pense maintenant que ce sont tes jambes – parce que je t’ai aimée – qui me sont arrivées comme cadeau, pour compenser le manque de toi, et comme punition.
Elles sont là, elles sont part de mon corps maintenant. Est-ce que je m’habitue ?