Parfois sur le chemin tu croises l’intérieur de ton crâne. C’est une sorte de toile d’araignée.
Ça chauffe.
Ça chauffe de plus en plus. Et le ciel reste gris, même celui qui passe derrière les nuages.
Plus rien n’est bleu, finalement.
Juliette Cortese
Parfois sur le chemin tu croises l’intérieur de ton crâne. C’est une sorte de toile d’araignée.
Ça chauffe.
Ça chauffe de plus en plus. Et le ciel reste gris, même celui qui passe derrière les nuages.
Plus rien n’est bleu, finalement.