Dans la nuit violette des poètes, je voudrais écrire. Quelque chose qui demeurerait. Quelque chose de doux et d’intelligent, qui ferait dire à ceux qui lisent qu’ils y ont vu leur visage, qu’ils ont entendu la voix ouverte des forêts, qu’ils se sont sentis branche à la place des branches, tronc à la place des troncs, oiseau à la place des oiseaux.