Mes pieds d’un an de plus.
C’était ça. Chaque année j’ai un assaut. Quelques jours où ça se morfond dans ma tête. Je garde le lit, aux abois, chien de lotissement dans les draps. La mémoire me grêle : des jours incertains, des souvenirs mauvais, les yeux torves du passé.
Ce n’est que le jour d’après, que je comprends.