Une fatigue boueuse que pique le matin, et ça saigne. J’ai rêvé d’un exil. Des vagues hautes et derrière, le monde invisible.
Nous ne savions pas pourquoi nous partions. Tu disais pour toujours, j’en doutais. Tout était précipité, même la mer.
Juliette Cortese
Une fatigue boueuse que pique le matin, et ça saigne. J’ai rêvé d’un exil. Des vagues hautes et derrière, le monde invisible.
Nous ne savions pas pourquoi nous partions. Tu disais pour toujours, j’en doutais. Tout était précipité, même la mer.