Je continue d’avancer à l’intérieur de mon propre rêve. Il est tapissé de tentures baroques. Au bout du couloir, un portrait de Bach. La musique m’aide. Je me défais de la perte de toi. Je regarde mes jambes de femme. Je te garde dans mon nouveau corps.
Je rêve d’un livre aux marches qui tournent, qui dénouerait le langage.
Au lieu de ça, pendant que j’avance dans mon propre couloir, au dehors tout semble se déplacer, devenir obscur.
Dans quelques jours nous repartons. Ici, on entend des rumeurs à propos d’une autre ville. Mon compagnon-oiseau désire aller voir.
Je ne sais pas ce que je ferai.