Avec les nouvelles tueries du jour, le matin dans ta tête creusait son trou, à la cuillère. On aurait préféré ne pas savoir, mais il était devenu impossible de se soustraire, les informations nous assiègeaient, les récits toujours plus écoeurants, frappants et plus vides de sens qu’un sabot qui résonne, suspendu à un arbre, dans la forêt.